Puisque nous sommes dans le MDNC (Monde des nouveaux concepts) permettons-nous d'appeler «bon-à-riénisme» cette réalité que l'on cherche à occulter par des «cantos loros» incessants, une logorrhée compensant l'incompétence.
Si nous prenons les hittistes, eux au moins, ils sont bons à quelque chose, à savoir tenir les murs pour éviter leur effondrement. Il y a également des gens honnêtes qui gagnent leur pain à la sueur de leur front, comme il y a, enfin, ceux qui croient leurrer la société. Les «super-mokh», d’un QI co-batracien (comparaison justifiée vu la similitude de leurs manifestations orales) ont pour devise de prendre plus qu'ils en donnent.
La chasse aux postes est leur petit point faible. Le coatching est leur jouissance. Mais quel coatching ? Celui qui a mené des entreprises à la faillite ? Celui qui brille par la médiocrité de la production ? Ou celui, enfin, qui déverse des sommes colossales dans la bouffe et tout ce qui suit ?
En tout cas, quel qu'en soit le genre, il manque de «savoir-faire». Une carence qu'on tente de compenser par le partenariat. Ainsi, dans le domaine de l'eau, les Turcs construisent les barrages, les Espagnols la station de pompage, et quant aux Français, ils le distribuent aux ménages. Nous aurons également des Chinois dans le bâtiment et les travaux publics, des Hongrois, des Allemands, des Portugais, et même des Américains pour former nos élus au «savoir-faire» relationnel avec leurs mandants. Même le coatching des rapports humains est en constat d'échec. Bon, puisque tout ce beau monde accepte de nous transformer le décor, quel sera alors notre rôle ? Eh bien : CRITIQUER !!! «Si le chameau voyait sa bosse !!!»