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| CONNAISSEZ VOUS ? | |
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le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: CONNAISSEZ VOUS ? Mar 28 Mar - 8:37 | |
| Reichsmarschall Hermann Goering Placé immédiatement après Adolf Hitler dans la hiérarchie nazie, Hermann Göring est, au sein du IIIe Reich, le second personnage politique de l’État allemand. En réponse à l’officier enquêteur qui, en juin 1945, l’interroge, Göring décline ainsi ses titres: «Commandant en chef de la Luftwaffe (aviation de guerre), ministre de l’Air, Premier ministre de Prusse, président du Reichstag, conservateur des forêts, maréchal du Reich». Cette liste n’est qu’un résumé très succinct de tous les titres et emplois de Göring dans le IIIe Reich. N’est-il pas, en outre, grand veneur du Reich, commissaire pour le plan de quatre ans, successeur désigné du Führer par le décret du 29 juin 1941? À l’inverse de Hitler, fils d’un simple douanier autrichien, Göring a pour père un diplômé des universités de Bonn et de Heidelberg, le docteur Heinrich Göring, qui devint un haut fonctionnaire prussien et un ami de Bismarck. Hermann est envoyé à l’école des cadets de Karlsruhe, d’où il passe ensuite à l’école militaire de Gross Lichterfelde. Il en sort sous-lieutenant d’infanterie. Survient la guerre de 1914. Plein d’audace, Göring est d’abord un parfait officier de renseignements, puis il entre dans l’aviation. Il se révèle un excellent pilote de chasse et obtient vingt-deux victoires aériennes dans la célèbre escadrille du Freiherr Manfred von Richthofen. Lorsque ce dernier trouve la mort en combat aérien, Göring lui succède en 1918 à la tête de cette formation. Démobilisé comme capitaine à l’issue de la guerre, Göring se retrouve sans occupation; il ne souhaite pas servir la République de Weimar et, d’autre part, il a un urgent besoin de gagner de l’argent. Pour vivre, il va au Danemark, puis en Suède, où il fait des démonstrations aériennes et vend des parachutes. Il séduit la comtesse Carin von Kantzow, plus âgée que lui de cinq ans. Quand, en 1922, il rentre en Bavière, Carin le suit, puis l’épouse. Il manifestera un grand amour pour cette femme. C’est à cette époque que Göring assiste à une réunion nazie et entend parler Hitler. Enthousiasmé, il revoit le Führer dès le lendemain et entre aussitôt au Parti national-socialiste: jusqu’à la fin de sa vie et même après la mort de Hitler, Göring demeurera fidèle à son chef. Appréciant à sa valeur cet ancien officier discipliné, Hitler lui confie ses SA (Sturmabteilung : sections d’assaut). Les 8 et 9 novembre 1923, lors du coup de force manqué à Munich, Göring se trouve auprès du Führer en tête de colonne. Grièvement blessé, il doit s’enfuir à Innsbruck, où il est soigné. Après sa guérison, Göring, qui ne peut revenir en Allemagne (il y serait aussitôt arrêté), séjourne à Venise, puis en Suède. En 1927, amnistié, il rentre dans sa patrie et renoue aussitôt ses liens avec Hitler. Aux élections du 20 mai 1928, pour la première fois, Göring est élu député au Reichstag. Arriviste, ambitieux, le nouveau parlementaire révèle alors sa personnalité, son goût du luxe, des honneurs et des uniformes. Intelligent, fréquentant la haute société, Göring se montre de plus en plus hostile aux brutes de la SA et à leur chef Ernst Röhm. La fidélité inconditionnelle du «nazi de salon», du «paladin de Hitler» (ainsi a-t-on surnommé Göring) finit par porter ses fruits. Déjà chef du groupe parlementaire nazi du Reichstag, Hermann Göring est élu président de cette assemblée en 1932. Il apparaît donc, dès cette date, comme l’un des premiers personnages de l’État. Quand, le 30 janvier 1933, Hitler devient chancelier du Reich, Göring est nommé ministre de l’Intérieur de Prusse. Instigateur du providentiel incendie du Reichstag, il peut se débarrasser des communistes en les accusant de ce crime. Puis il crée la Gestapo, les camps de concentration, et approuve d’avance les meurtres que commettra la police. Allié de Himmler contre Röhm, Göring prépare le piège dans lequel il fera tomber le dangereux chef des SA. Commissaire du Reich à l’Aviation, puis ministre de l’Air, avec le grade de général, Göring sait tirer parti de ses collaborateurs, bien que ses connaissances techniques dans ce domaine soient assez restreintes. Sous sa direction apparente naît une puissante flotte aérienne de guerre. Implacable, Göring parvient à écarter les généraux Blomberg et Fritsch, tandis que Hitler lui donne le plus haut grade de l’armée allemande: feld-maréchal. Ayant tous les titres et emplois qu’il pouvait désirer, menant une vie fastueuse et indolente, collectionnant les tableaux et les œuvres d’art, Göring redoute la guerre, qui pourrait amener l’écroulement du IIIe Reich et le sien. Désirant maintenir la paix, il entre alors en rapport avec Birger Dahlerus, homme d’affaires suédois en relation avec des Anglais très influents. Mais il manque de courage moral et ne veut pas risquer sa carrière: ses entrevues secrètes avec ces Anglais n’aboutissent à aucun résultat; la guerre éclate en septembre 1939. Après la campagne victorieuse de Pologne, Göring prend une décision irréfléchie qui décidera du sort de l’aviation allemande et peut-être de la guerre: il arrête les recherches de nouveaux types d’avions pour concentrer tout l’effort de l’industrie aéronautique allemande sur la production massive des types existants. Cette stupéfiante erreur engendre le lent déclin de l’aviation allemande, dont les modèles sont vite périmés. Le subordonné de Göring, le célèbre général Udet, responsable du matériel de la Luftwaffe, se suicide quand il constate que la folle politique de Göring conduit l’Allemagne à la défaite. Le général Milch, qui a succédé à Udet, demande en vain à Hitler que Göring soit relevé de ses fonctions. La puissance croissante des bombardements alliés, à laquelle l’aviation allemande ne peut s’opposer efficacement, prouve au Führer que le maréchal Göring s’est montré un incapable. Hitler donne l’ordre, trop tard, de construire en masse des bombardiers Me-262. Quand, le 23 mai 1945, Göring demande au Führer, terré dans son bunker de la chancellerie, à Berlin, s’il peut lui succéder selon le décret du 29 juin 1941, Hitler, conseillé par Bormann, s’y oppose et le fait arrêter par ses SS! Au tribunal de Nuremberg, Göring défend la politique du Führer puis se suicide plutôt que d’être exécuté. | |
| | | bibiche
Nombre de messages : 164 Localisation : sur la montagne Date d'inscription : 27/03/2006
| Sujet: camp de strutof Mar 28 Mar - 8:51 | |
| - j'adore l'histoire de la deuxieme guerre mondial d'ailleur a quelques killometres de chez moi il a le camp de concentration strutof , ne n'est pas eu l'ocasion de le visiter car , des que tu arrive a cet endroit la , il fait tres froid, ton coeur se met a battre, mais de la bariere de dehors on peut voir le camp , il es toujours intacte
e camp de Struthof est situé sur le territoire de la commune de Natzwiller, à 8 kilomètres du village, et desservi par la gare de Rothau.
Édifié par les Allemands en 1940 sur un plateau, à 800 mètres d’altitude, il a une capacité de 3000 places.
À la libération de Strasbourg [23 novembre 1944], les autorités allemandes du camp ont été surprises et tous les dossiers sont restés sur place ainsi que certains internés qui ont été libérés.
Il est établi à l’heure actuelle, aussi bien par les témoignages recueillis que par l’examen des dossiers, que des atrocités ont été commises à Struthof.
J’ai signalé par ailleurs que le camp comporte une salle d’autopsie, un four crématoire et une infirmerie très bien organisée. Il possède aussi une chambre à gaz avec éclairage intérieur et hublots vitrés, une salle de douches et des chambres nues servant pour les exécutions.
D’après le Commandant du service des renseignements, qui, assisté d’un groupe d’officiers, a été chargé d’identifier les internés français ayant séjourné à Struthof, il est établi que:
1° dans la salle d’autopsie, des opérations de vivisection sur des hommes ont été pratiquées (par le professeur Hirth, chef de l’Institut anatomique de Strasbourg, de 1941 à 1944).
2° dans la chambre à gaz, il a été fait un essai de gaz vésicant sur dix-neuf femmes juives enfermées ensemble, préalablement déshabillées devant le personnel, et dont l’agonie a duré un quart d’heure sous les yeux des médecins qui suivaient les progrès de l’intoxication (les cris ont été entendus par des voisins du camp);
3° à l’infirmerie étaient faits des essais de traitements sur les malades, un médicament désigné étant uniformément employé pendant un mois, quelle que soit la maladie. Après cette période, quel que soit l’effet produit, le traitement était arrêté et les malades abandonnés à eux-mêmes. L’effet des médicaments dans chaque cas était séparément observé et noté;
4° en outre, des maladies ont été volontairement données à des sujets sains pour faire des expériences - greffe de tissus cancéreux notamment - et il a été trouvé un rapport dans lequel le médecin du camp, qui avait demandé l’envoi d’une centaine de nomades pour une expérience, protestait parce que seuls une dizaine d’entre eux étaient susceptibles de la supporter. Une cinquantaine de nomades de plus lui furent d’ailleurs, paraît-il, envoyés;
5° des opérations de stérilisation volontaire ou forcée étaient pratiquées chaque semaine: les statistiques mensuelles en font foi;
6° dans les salles spécialement aménagées (sol en ciment incliné, avec, au centre, grille d’écoulement des eaux), des internés étaient exécutés par coups de revolver dans la nuque; le tueur du camp percevait pour chaque exécution deux décilitres d’eau-de-vie, un morceau de saucisse et deux cigarettes. Cet individu devenu fou à sa 360e exécution, a été exécuté à son tour;
7° les punitions corporelles suivantes étaient appliquées:
a) distribution de coups de nerf de bœuf; l’interné était placé sur un chevalet après avoir été préalablement douché à l’eau chaude pour assouplir sa peau. Il recevait les coups en présence des autres internés nus, devant lui succéder, et obligés de chanter pendant l’opération. Après un certain nombre de coups, le patient évanoui était jeté dans une baignoire d’eau glacée, et, s’il ne revenait pas à lui, était porté à la morgue et au four crématoire;
b) pendaison par les bras liés derrière le dos à des crochets placés dans une chambre étanche, dans laquelle une tuyauterie amenait de l’air chaud; le patient, les épaules désarticulées, résistait rarement à un chauffage un peu prolongé.
Enfin, on fait remarquer que le four crématoire, qui brûlait les corps placés sur un chariot métallique, chauffait, en service, l’appareil à douches utilisé pour la préparation aux bastonnades.
Les cendres des corps n’étaient pas toujours déposées dans des urnes (on brûlait jusqu’à cinq et six corps à la fois): elles ont, à un certain moment, été répandues dans le jardin du camp; des ossements calcinés en ont été retirés. Le Commandant les a fait recueillir et placer dans des urnes funéraires;
8° enfin, lors des tentatives d’évasion, tout interné abattu par un gardien rapportait à celui-ci une permission exceptionnelle de cinq jours. Il est prouvé que, dans bien des cas, des internés ont été abattus pour avoir, sur ordre du chef de baraque, dépassé de quelques mètres le périmètre de sécurité du camp, ce qui permettait au gardien d’avoir une récompense. Il est aussi établi que, lorsqu’un interné déplaisait au chef de baraque nazi, il était invité, par son chef de chambrée, à se pendre, et de nombreux cas de suicide ont été enregistrés.
Le Commandant précise que le camp a contenu jusqu’à 7000 internés à la fois, se décomposant en quatre groupes:
1° les condamnés de droit commun;
2° les politiques;
3° les objecteurs de conscience:
4° les Juifs.
Les Français, qui ont été internés, dans ce camp étaient considérés comme internés politiques. Parmi eux a figuré M. le général Frère, mort au camp, à 62 ans, à la suite («officiellement») d’une diphtérie, mais qui, d’après le Commandant, paraît avoir succombé au cours d’un essai de médicament. | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 3:21 | |
| bonjour tt a fait d'accord avec toi moi je m'interesse aussi a l'histoire et je connais l'histoire de la 2eme guerre j'ai commencer avec goering vu qu'il etais le reiche marchal la personne la plus importante apres hitler car il etait a la tete de l'eta major et apres je parlerai des membre de cet etat major comme Heinrich Himmler , Hans Frank , Wilhelm KEITEL , Albert Speer, Ludwig Beck etc ... mais faut just ne pas oublier que le premier camp de consentration est dashau hitler le surnomé le club de detente parce que dans ce camp en realité il executait tt les opposant au partie nazi et mnt je vais enchainer avec la 2eme personne apres goering et c'est himmler l'executant de l'ordre signé par hermane goering pour trouver la solution finale et dans cet ordre il etait ecris ( je vx une solution finale pour l'extermination total des juifs ) tel sont les mots de goering et c'est de là que l'histoire des camps de consentration commence et le plus grand camp c'est celui de aushvits berkenao et la partie nomé perkenao etait reservé aux femmes | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Heinrich Himmler Reichsführer SS Mer 29 Mar - 3:36 | |
| Heinrich Himmler Reichsführer SS Fils de professeur, filleul du prince Heinrich de Bavière, Heinrich Himmler a été élevé, selon les méthodes de l’époque, dans une famille catholique très pratiquante, qui ne plaisantait pas avec la morale et les convenances bourgeoises, et dans l’amour et le respect de la patrie allemande. Docile, affectueux, respectueux, il fit de solides études et se destina à la carrière d’officier. La Première Guerre mondiale n’interrompt pas ses études. Il doit attendre 1917 avant d’être admis à s’engager et fait ses classes dans le 11e régiment d’infanterie de Bavière; il suit ensuite un cours d’élève officier à Freising, puis un cours de canonnier à Bayreuth. Deux mois après il est démobilisé avant même son arrivée au front. Plus tard, il prétendra avoir conduit les hommes au combat pendant la Première Guerre mondiale. Himmler décide alors de se tourner vers l’agronomie. Après avoir travaillé dans une ferme-école aux environs d’Ingolstadt, il s’inscrit à l’université de Munich pour poursuivre ses études d’agronomie et devient ingénieur à vingt et un ans. Cette année-là, il rencontre le capitaine Röhm qui fait sur lui une grande impression et le convertit à ses vues politiques. En août 1923, il adhère à la N.S.D.A.P. d’Adolf Hitler. En novembre, il participe au putsch de Munich aux côtés de Röhm, mais il n’est pas poursuivi par la justice. C’est alors qu’il rencontre Gregor Strasser, qui le prend en qualité de secrétaire du Mouvement national-socialiste pour la liberté, qui remplace la N.S.D.A.P. interdite. En 1925, Himmler travaille pour Gregor Strasser en collaboration avec Joseph Goebbels. Cette même année, Himmler entre à la SS (sous le numéro matricule 168) que Hitler vient de fonder. Dès ce moment, Himmler va vouer à Hitler une admiration, une soumission et une fidélité qui ne se démentiront que dans les tout derniers jours de la Seconde Guerre mondiale. «Henri le Fidèle» (der treue Heinrich ), comme l’appelle Hitler, est à la fois le confident des projets les plus secrets du Führer et son exécuteur des hautes œuvres, mais il n’appartiendra jamais au cercle de ses amis intimes. Heinrich Himmler est doté d’une personnalité très difficile à saisir. Ceux qui l’ont connu de son vivant avaient peine, après l’avoir vu, à le décrire. Il y a autant de portraits de Himmler qu’il y a de témoignages: «Une application d’écolier borné, mais aussi quelque chose de méthodique comme peut l’être un automate» (Karl J. Burckhardt); «un bon maître d’école, certainement pas un chef» (général Walther Dornberger, «père des V1»): «froid, calculateur, avide de pouvoir, mauvais génie de Hitler, l’individu le plus dénué de scrupules du IIIe Reich» (général Friedrich Hossbach); «jamais je n’ai pu accrocher son regard toujours fuyant et clignant derrière son pince-nez» (Alfred Rosenberg); «cet homme n’avait rien de diabolique. Courtois, non dépourvu d’humour, il aimait à jeter de temps à autre un mot d’esprit pour détendre l’atmosphère» (comte Bernadotte). Himmler monte rapidement dans la hiérarchie de la N.S.D.A.P.: gauleiter en Basse-Bavière (1925), gauleiter en Bavière et en pays souabe (1926), directeur des services de propagande du Reich (1926). Le 6 janvier 1929, Adolf Hitler lui confie la SS dont il devient Reichsführer. Il va en faire le terrible Ordre noir avec sa police politique (Gestapo), son service de renseignements, son organisation de camps de concentration, son service pour la race et la colonisation, son armée (la Waffen SS) et son parti dans le parti (l’Allgemeine SS, la SS générale), etc. Capable de fournir un immense travail, mais comme un automate routinier, son fanatisme, d’apparence glacée, est profond, tumultueux et sincère. Il croit fermement à ce qu’il dit et ne recule devant aucun crime pour réaliser les objectifs que lui fixe son Führer. Tout au long de l’histoire du IIIe Reich, son nom apparaît souillé de tortures, de sang et de férocité. Chef suprême de toutes les polices en 1938, il devient ministre de l’Intérieur en novembre 1943. Il fait régner la terreur non seulement en Allemagne mais dans toute l’Europe occupée. Après l’attentat manqué contre Hitler le 20 juillet 1944, il reçoit le commandement de toutes les forces armées de l’intérieur. Le 23 avril 1945, il rencontre le comte Bernadotte à Lubeck et lui annonce que, Hitler étant sur le point de mourir, il prend le pouvoir et se tient prêt à négocier la capitulation de l’Allemagne. Hitler, l’ayant appris, révoque Himmler qui gagne le Schleswig où il sera arrêté par les Anglais. Son suicide lui permet d’échapper au jugement du Tribunal militaire international de Nuremberg. | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 7:54 | |
| Baldur Von Schirach Enfance et adolescence Baldur von Schirach est né le 9 mars 1907 à Berlin. Il est issu d'une famille d'officiers aristocrates riches et est le dernier des quatre enfants von Schirach. Son père, l'officer Carl von Schirach épousa Emma, la fille d'un avocat américain. En 1908, Carl démissionna de l’armée pour devenir directeur du théâtre impérial de Weimar. Baldur connaît une enfance privilégiée, marquée par la musique, le théâtre et la littérature. Très tôt, il fit preuve d’un talent de poète et aime particulièrement Goethe. Malheureusement, la Première Guerre mondiale mit vite fin à cette vie sans souci. À 10 ans, le jeune von Schirach devint membre de la ligue des Jeunes Allemands, une organisation nationaliste et raciste. Au lendemain de la défaite allemande de 1918, son père fut révoqué et resta quelque temps sans emploi. Les désordres qui agitaient alors l’Allemagne traumatisa durablement la famille von Schirach. Le fils aîné ne supportant pas le déshonneur de sa patrie et mit fin à ses jours. Désenchanté, Carl von Schirach se tourne vers l’extrême-droite et devint l’un des partisans du parti national-socialiste. Durant son adolescence, Baldur fut marqué par la haine de son père envers la République de Weimar. Au cours d’un voyage qu’il effectua avec sa mère aux États-Unis, sa famille américaine lui proposa de s’installer outre-Atlantique pour entamer une carrière. Mais Baldur choisit de retourner en Allemagne. Le 29 août 1925, lors d’un dîner organisé dans la maison familiale, il fit la connaissance d'Adolf Hitler. L’adolescent profondément impressionné par cette rencontre adhéra peu après au NSDAP. En 1927, Baldur entra à la SA et s’installa à Munich où il s’inscrivit à l’université pour y suivre des cours d’histoire de l’art, d’anglais et de littérature allemande. [modifier] Le N.S.D.A.P. En dépit de son jeune âge, von Schirach fit très vite partie du cercle intime des dirigeants du NSDAP. Ainsi, le 20 juillet 1928, il fut nommé à la tête du de l’Union des étudiants hitlériens . En 1929 son engagement politique le poussa à abandonner ses études. Propagandiste et organisateur remarquable du mouvement étudiant, il inspira chez ses compagnons les idéaux de la camaraderie, du sacrifice, de la discipline, du courage et de l’honneur. Il gagna ainsi à la cause nazie des centaines de milliers de jeunes. L’efficacité de son action auprès de la jeunesse et la dévotion aveugle qu’il exprime dans ses poèmes lui valent l’estime de Hitler. Le 30 octobre 1931, celui-ci le nomma chef des Jeunesses hitlériennes, poste qu'Hitler crééa spécialement pour lui. Baldur, qui n’avait que 24 ans, devint ainsi colonel SA. En mars 1932, il épousa Henriette Hoffmann, la fille du photographe personnel de Hitler, Heinrich Hoffmann. Leur témoin, Hitler, leur offrit un chien. Le couple aura quatre enfants, trois garçons et une fille. Le 31 juillet, von Schirach entre au Reichstag. Quelques mois plus tard, début octobre 1932, il organisa une monumentale marche de la jeunesse nazie. Des dizaines de milliers de jeunes, venus à pied de toute l'Allemagne, rendirent ainsi hommage à Hitler au cours d’un défilé qui dura près de 7 heures. Le Führer fut lui-même très impressionné. A partir de janvier 1933, von Schirach travailla d’arrache-pied pour atteindre son objectif : inculquer à la jeunesse allemande les idéaux nazis. Il prit ainsi possession, par la force, des bureaux du comité des associations de jeunesse du Reich, puis de l’organisation des auberges de jeunesse. Le 17 juin 1933, lors d’une cérémonie en présence de Hitler, von Schirach devint chef des Jeunesses du Reich allemand. La Hitlerjugend fut ainsi libérée de la tutelle SA et devint autonome du parti. Entre janvier 1933 et 1934, les jeunesses hitlèriennes passèrent de un à 3,5 millions de membres. À la suite du décret du 1er décembre 1936 qui en fit une organisation d’État, les adhérents furent de plus en plus nombreux. Von Schirach devint alors Secrétaire d’État à la jeunesse. Désormais, il ne dépendit plus que de Hitler et fut "entièrement responsable de l’éducation physique, idéologique et morale de la jeunesse allemande". En janvier 1937, avec l'aide du docteur Ley, il ouvrit les écoles Adolf Hitler pour former l’élite du IIIe Reich. Son organisation travailla en étroite collaboration avec le ministère de la propagande qui avait pour chef Goebbels. Présenté comme une sorte de héros, adulé par les jeunes nazis comme un dieu, les photographies du chef des jeunesses hitlériennes furent diffusées en nombre dans l’ensemble du Reich. En 1938, von Schirach déclara : « Le combat pour l’unification de la jeunesse allemande est terminé. Je considère comme de mon devoir de la conduire d’une manière dure et intransigeante [...] et je promets au peuple allemand que la jeunesse du Reich, la jeunesse d’Adolf Hitler, accomplira son devoir suivant l’esprit de l’homme à qui seul leurs vies appartiennent. » Le 25 mars 1939, l’adhésion aux jeunesses hitlériennes devint obligatoire pour les jeunes voulant faire des activités sportives ou encore aller à l'école. Elles regroupèrent alors 12 millions de jeunes. Von Schirach transforma ainsi la jeunesse allemande en "objet de propagande vivante", faisant ainsi l'embrigadement des parents par leurs enfants. C'est à cette époque que von Schirach prononça la célèbre phrase dans un meeting, joignant le geste à la parole : « Quand j'entends le mot "culture", je sors mon revolver ! » Terrain d’entraînement des futurs officiers, les jeunesses hitlériennes devinrent également à partir du 26 août 1938 le vivier de la SS : à la suite d’un premier accord conclu entre Baldur von Schirach et Heinrich Himmler, les meilleures recrues furent orientées vers l’Ordre noir après avoir suivi un entraînement particulier. Un bureau de liaison entre la SS et la Hitlerjugend fut mis en place le 1er octobre, et un nouvel accord renforçant cette collaboration fut signée le 17 décembre 1938. Quant à la coopération avec l’armée, elle fut renforcée le 11 août 1939. Von Schirach signa alors une nouvelle convention avec Wilhelm Keitel, commandant en chef de la Wehrmacht, suivant laquelle la Hitlerjugend effectuera l’entraînement pré-militaire suivant les règles fixées par l'armée qui, en contrepartie, s’engaga à former chaque année 30.000 instructeurs pour la jeunesse hitlérienne. Cependant, le Jugendführer n’avait pas que des amis au sein du NSDAP. L’un de ses principaux ennemis, Martin Bormann, fit en sorte de nuire à sa réputation par des plaisanteries sur son comportement. Il fut vrai que le grassouillet Baldur n’appréciait guère la vie spartiate qu’il faisait régner dans les camps de la Hitlerjugend, et se montra distant envers ses troupes lors de ses déplacements. Quelques temps après le déclenchement de la guerre, en décembre 1939, sans doute pour couper court aux insinuations de ses opposants, von Schirach rejoignit volontairement l’armée. Après avoir subi un entraînement, il servit sur le front de l’ouest à partir d’avril 1940 et participa à la campagne de France. En juin 1940, promu lieutenant, il reçut la Croix de Fer de seconde classe, avant d’être rappelé à Berlin par Hitler. Son opposition à la guerre et des litiges internes le conduisirent à être remplacé à la tête des jeunesses hitleriennes ; il resta néanmoins Reichsleiter, chargé de l’éducation de la jeunesse allemande. [modifier] L'exil à Vienne Déçu par son protégé, Hitler l’exila en le nommant en 1940 gouverneur de de la région de Vienne et Reich commissaire à la défense. A partir de septembre 1940, il fut également chargé de l’évacuation des enfants des villes pour les protéger des bombardements anglais. Dans la métropole viennoise, Baldur von Schirach donna de somptueuses fêtes. Sur place, ses responsabilités couvraient l’économie de guerre, l’administration de Vienne et celle du Gau sous la supervision du ministre de l’Intérieur. Il y fut responsable du programme de travail forcé. Surtout, dès sa prise de fonction, von Schirach précipita la déportation des Juifs de la région de Vienne. Le 2 octobre 1940, alors qu’il participa à une réunion dans le bureau de Hitler, il demanda au chef du Gouvernement Général, de se charger des Juifs qui étaient encore présents à Vienne. Le 3 décembre 1940, à la suite de ses rapports, il reçut une lettre lui annonçant que Hitler avait décidé de déporter les 60 000 Juifs restant à Vienne vers le Gouvernement Général. Au total, il participa directement à l’envoi à l’Est de 185 000 Juifs. Expulsion qu’il juga, dans l’un de ses discours, comme étant "une contribution active à la culture européenne". Von Schirach n’a désormais plus de réelle influence au sein du Reich. Ses rapports avec son Führer iront en se dégradant jusqu’à la fin du conflit. Bormann fit d’ailleurs en sorte d’envenimer leurs relations. Après le 17 novembre 1942, une nouvelle répartition administrative le déchargea de la responsabilité du Danube inférieur et du Danube supérieur. En 1943, il s’attira les foudres de Hitler pour avoir organisé à Vienne une exposition sur "l’art décadent". La rupture fut pratiquement consommée au cours d’un dîner avec le Führer, le 24 juin 1943. Von Schirach aurait alors demandé qu’un meilleur traitement soit accordé aux peuples de l’Est, en particulier aux civils russes, et aurait protesté contre les conditions dans lesquelles s’effectue la déportation des Juifs. Quant à sa femme Henriette, elle se serait déclarée opposée aux déportations et aurait demandé au Führer s’il avait lui-même permis que les Juifs soient maltraités. Hitler, furieux, aurait quitté la pièce avec fracas. [modifier] Le procès de Nuremberg Au moment de la prise de Vienne par l’Armée Rouge le 13 avril 1945, von Schirach tenta dans un premier temps d’échapper à la capture. Sous le nom de Falk, il travailla à Schwaz, dans le Tyrol, comme interprète pour l’armée américaine. Cependant, quelques jours avant la capitulation allemande, le 5 mai 1945, il dévoila par lettre son identité aux Américains et se constitua prisonnier. Le 20 novembre, il fut mis en accusation par le tribunal de Nuremberg pour "plan concerté au complot" et "crimes contre l’humanité". Le principal acte d’accusation reposa sur sa participation aux déportations des Juifs d’Autriche. Au cours du procès, von Schirach fut le seul, avec Speer, à reconnaître la culpabilité du régime nazi et à faire preuve de quelque repentance. Il déclara : "Devant Dieu, devant la nation allemande, devant le peuple allemand, je porte seul la culpabilité d’avoir entraîné la jeunesse à soutenir un homme qui durant de longues années a été considéré comme étant irréprochable et qui a assassiné des millions de gens". Il apporta la preuve qu’il avait protesté auprès de Bormann contre le traitement inhumain infligé aux Juifs et, déclarant que les crimes commis resteront pour des siècles une tache dans l’histoire allemande, il assura ne pas avoir eu connaissance de l’existence des camps d’extermination. Affirmation fort douteuse, puisque ses fonctions lui valaient de recevoir les rapports du SD sur l’application de la "Solution Finale". Il se défendit en déclarant que ses "principales activités à Vienne étaient sociales et culturelles". Le 1er octobre 1946, disculpé du premier chef d’accusation, von Schirach fut reconnu coupable de Crime contre l'humanité et condamné à 20 ans de prison. Au cours de ses années d’incarcération, il commenca à écrire secrètement ses mémoires. En 1950, les époux von Schirach divorcèrent. La même année, ses enfants demandèrent sa grâce, en vain. [modifier] La «fin» de Baldur von Schirach Ce fut un homme malade et prématurément vieilli qui sortit de la prison de Spandau le 30 septembre 1966. Jusqu’à son décès, il vécut retiré dans le sud-ouest de la République fédérale d'Allemagne. En 1967, il publia Ich glaubte an Hitler (J’ai cru en Hitler), tentant d’expliquer la fascination que le Führer avait exercée sur lui et sur la jeunesse allemande. Il décéda dans son sommeil dans un petit hôtel de Kröv-an-der-Mosel le 8 août 1974. Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Baldur_von_Schirach » | |
| | | le-Parrain
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| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 8:12 | |
| Joseph Goebbels Joseph Goebbels Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : navigation, Rechercher Paul Joseph Goebbels : homme politique allemand né à Mönchengladbach le 29 octobre 1897, mort à Berlin le 1er mai 1945. Docteur en philosophie, puis en médecine, il rejoint le NSDAP (parti National-Socialiste) (nazi) dirigé par Adolf Hitler dès 1922. Il fut l'un des proches du Führer dès 1926 après une période plus distante, en particulier à cause du soutien financier apporté par les industriels allemands à Hitler, ce qui heurtait les idées « anticapitalistes » de Goebbels et de l'aile gauche du NSDAP. Mais Hitler parvint à l'éloigner des frères Gregor et Otto Strasser et de ce courant « communiste » en lui faisant lire les chapitres de Mein Kampf consacrés à la propagande. Élu dès les élections législatives de mai 1928, Goebbels fut l'un des douze premiers députés du NSDAP à siéger au Reichstag. Nous entrons au Reichstag […] comme des loups dans la bergerie. écrira-t-il dans l'Angriff, le journal qu'il avait fondé en 1927. Il épousa Johanna Maria Magdalena Behrend (mieux connue sous le nom de Magda Goebbels) le 19 décembre 1931. Sous le Troisième Reich, la propagande fera de Magda Goebbels l'épouse et la mère de famille modèle de l'Allemagne nazie. Il aura cependant une liaison suivie avec une actrice tchèque, Lida Baarova. Il semble que ce soit sur l'insistance d'Hitler que le couple Goebbels ne se sépara pas. Le 11 mars 1933, Hitler le nomme ministre de l'Information et de la Propagande en raison de ses talents d'orateur et de rhétoricien. Son rôle est très important dans la mise en place de la dictature nazie et de la diffusion des mots d'ordre. Selon lui, l'idéal, c'est que la presse soit organisée avec une telle finesse qu'elle soit en quelque sorte un piano sur lequel puisse jouer le gouvernement et la critique n'est autorisée qu'à ceux qui n'ont pas peur d'aller en camp de concentration. Discours de Joseph Goebbels en 1933C'est son ministère qui régente et censure la presse écrite, la radio, le cinéma, l'art... Le 10 mai 1933, 20 000 livres sont brûlés sur la place de l'Opéra à Berlin ; Dès septembre 1933, une loi oblige à adhérer à une Reichskulturkammer (chambre nationale de la culture) pour pouvoir exercer une profession artistique ou celle de rédacteur en chef d'un journal. Comme cette adhésion est interdite aux « non-aryens », ces professions deviennent ainsi réservées aux seuls aryens. L'émigration des intellectuels commence. Goebbels sera constamment aux avant-postes dans la radicalisation du régime contre les Juifs avant guerre, par exemple, lors de la Nuit de cristal. Il n'hésite pas à faire figurer ses propres enfants dans un film de 1939 destiné à justifier la politique d'euthanasie des infirmes. Proche de Hitler auquel il vouait une admiration sans borne, Goebbels devient « plénipotentiaire pour la guerre totale » en juillet 44. Il suit son Führer jusqu'aux derniers jours du Troisième Reich. Le ministère de la Propagande, au service de "la sainte croisade du XXe contre le bolchévisme", mobilise les troupes allemandes et le reste de la population au fur et à mesure que la situation militaire se détériore. Il est directement responsable des Volksturm, troupes de réserves composées d'adolescents et de personnes âgées. Après le suicide d'Hitler dans l'après-midi du 30 avril, il est chancelier du 30 avril au 1er mai. Ses dernières tentatives consistent à essayer de prendre contact avec les Russes qui sont à la Zimmerstrasse, non loin du bunker, en parvenant avec ses aides de camp à mettre en place un téléphone et à communiquer avec les Soviétiques. Il essaye alors de négocier un armistice mais ne parvient pas vraiment à communiquer directement avec les autorités russes. Refusant catégoriquement une reddition sans condition, Goebbels se donne alors la mort au soir du 1er mai 1945 avec Magda, sa femme et après avoir tué leurs six enfants. Tout comme Hitler, son corps est partiellement brûlé par les aides de camp de la chancellerie. Le copieux Journal tenu par Goebbels de 1923 à 1945 est un document capital pour les historiens et comporte 29 volumes édités intégralement par l'Institut für Zeitgeschichte (Institut d'Histoire contemporaine de Munich). On y découvre de l'intérieur le fonctionnement complexe du système nazi, l'idolâtrie servile de Goebbels vis-à-vis de son maître infaillible, les intrigues et rivalités au sein du premier cercle, et surtout la machine à manipuler les esprits que dirige Goebbels. Trois ficelles lui serviront jusqu'au bout à entretenir ses propres illusions de succès final alors que troupes soviétiques et alliées ont manifestement mis à genoux la « Grande Allemagne » : les juifs, responsables du mal par définition, les Soviétiques, autre incarnation du mal absolu, et… les promesses de lendemains meilleurs ! On découvre aussi la psychologie d'un personnage-clé du "Reich Millénaire" niant les crimes nazis et s'indignant des bombardements « criminels » sur les villes allemandes, si bien qu'on finit par se demander s'il écrivait pour manipuler même la postérité ou s'il croyait en son discours ! | |
| | | le-Parrain
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| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 8:29 | |
| Fritz Sauckel Fritz Sauckel (1894 - 1946) était un responsable nazi. Il organisa les déportations de travailleurs des pays occupés vers l'Allemagne. Marin sur des navires de commerce, puis ouvrier d'usine, il adhéra en 1923 au parti nazi, dont il devint Gauleiter en Thuringe en 1927. Chef du gouvernement de Thuringe en 1932, puis Reichsstatthalter de Thuringe en 1933, il fut nommé plénipotentiaire général pour l'emploi de la main d'œuvre en 1942 et organisa à ce titre les déportations de travailleurs des pays occupés vers l'Allemagne. Il fut condamné à mort au cours du procès de Nuremberg et pendu en 1946. | |
| | | le-Parrain
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| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 8:34 | |
| Julius Streicher Julius Streicher (1885 - 1946) était un instituteur, puis un officier pendant la Première Guerre mondiale. Violemment antisémite, il rencontre Hitler en 1921. Il était alors le responsable de l'extrême-droite de Franconie, ce qui contribua à faire de Nuremberg une ville phare du parti nazi. Il participe au putsch manqué de Munich en novembre 1923. Il fut le directeur du journal antisémite Der Stürmer de 1923 à 1945. Gauleiter nazi de Franconie (1925-1940), puis député au Reichstag en 1933, il était connu pour ses violences verbales contre les Juifs. Il est tombé en disgrâce durant la Seconde Guerre mondiale. Jugé à Nuremberg, ville dont il avait fait un bastion nazi, il est condamné à mort et pendu. | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Mer 29 Mar - 8:42 | |
| Generalfeldmarschall Wilhelm Keitel Wilhelm Keitel (22 septembre 1882 à Helmscherode près de Hanovre, Allemagne - 16 octobre 1946 à Nuremberg, Allemagne) fut un maréchal militaire responsable de l'ensemble des forces armées allemandes pendant la Seconde Guerre mondiale. [modifier] Jeunesse Après une éducation à Göttingen, il s'enrôle dans l'armée comme Fahnenjunker (officier cadet) en 1901 et joint le 6e régiment d'artillerie de campagne de Basse-Saxe. Il épouse Lisa Fontaine en 1909. Pendant la Première Guerre mondiale, il sert sur le front de l'ouest avec le 46e régiment d'artillerie. En septembre 1914, pendant les combats en Flandres, il est sérieusement blessé au bras droit par un éclat d'obus. Il se rétablit et devient un membre de l'état-major au début de 1915. Après la guerre, il reste avec la nouvelle Reichswehr et aide à organiser les Freikorps, garde-frontière avec la Pologne, puis fut instructeur pendant deux ans à l'école de cavalerie de Hanovre. À la fin de 1924, il fut transféré au ministère de la défense du Reich qui était alors déguisé en office des troupes (Truppenamt). Il garda son poste après l'arrivée des Nazis au pouvoir et même fut promu comme le chef avec la recommandation de Werner von Fritsch. [modifier] OKW et Seconde Guerre mondiale En 1937, il est général et, en 1938, après l'affaire Blomberg-Fritsch suivie du remplacement du Reichswehrministerium par le Oberkommando der Wehrmacht (OKW, haut commandement des forces armées), il devient le chef suprême des troupes. Il est nommé maréchal en 1940. Pendant la Seconde Guerre mondiale , il se montra un commandant faible et précautioneux. Il s'opposa aux invasions de la Pologne et de la France. À chaque fois, il donna sa démission, mais elle ne fut pas acceptée. Sa dernière tentative de défiance fut avec la liste Siegmund, ensuite il fit passivement tout ce qu'on lui ordonnait et obtint le surnom par ses collègues de Lakaitel (âne). Il signait tous les ordres, y compris les plus critiquables éthiquement, permettant à Himmler d'exercer sa terreur notamment en Russie. Il présida le tribunal qui remit les officiers qui avaient tentés de tuer Hitler le 20 juillet 1944 à Roland Freisler pour être éliminés. Le 9 mai 1945 à Berlin, il signe la capitulation allemande, après avoir remarqué, à haute voix: « Ach! Les Français sont là aussi ! Il ne manquait plus que ça ! ». Au procès de Nuremberg, il est condamné à mort et pendu. | |
| | | Aspirine Invité
| Sujet: :) Mer 29 Mar - 8:50 | |
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merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii parrain mais tu nous parles de amir abdelkader ou chikh bouemama walah ces deux hommes me faxine et chapeau pour cette histoire mouahhhhhhhhhhhhhhh continue :) des news ? :farao:
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| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Jeu 30 Mar - 1:25 | |
| bonjour settouta tkt pas chaque chose en son temps j'ai commecer avec les criminel de guerre et apres ca viendra de parler des heros tkt :) mouahhhhhhhhhh aalik
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| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Jeu 30 Mar - 2:12 | |
| SS-General Ernst Kaltenbrunner Ernst Kaltenbrunner (4 octobre 1903 à Braunau en Autriche - 16 octobre 1946 à Nuremberg) fut l’un des principaux responsables du système policier nazi. Originaire de la même région d'Autriche (Linz) que Adolf Hitler, il y milite après ses études de droit dans des groupes paramilitaires pour l'annexion à l'Allemagne (Anschluss) , adhère au parti nazi en 1930 et à la SS en 1931. Informateur de Himmler avant l'Anschluss, il monte rapidement dans la hiérarchie nazie autrichienne, en janvier 1934 il est brièvement incarcéré par le gouvernement d’Engelbert Dollfuss avec d’autres nazis dans le camp de concentration de Kaisersteinbruch, sous l’accusation de haute trahison. Il est condamné à six mois pour conspiration. Après l'Anschluss auquel les nazis autrichiens contribuent activement, Himmler lui confie la direction de la SS dans la partie autrichienne du Reich. Le 30 janvier 1943, il est nommé chef du SD (service de sécurité) et de la Sicherheitspolizei (police de sécurité), succédant à Heinrich Himmler qui assurait ces fonctions depuis la mort de Reinhard Heydrich. Les tristement célèbres Einsatzgruppen, responsables de 600 000 exécutions à l'arrière du front Est, étaient donc directement sous les ordres de Kaltenbrunner à partir de cette date ainsi que la Gestapo etc. Barricadé à la fin de la guerre dans la "forteresse alpine" près de Alt-Aussee, Kaltenbrunner y fut capturé par les anglais, transféré en Angleterre pour y être interrogé, puis accusé de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité au Procès de Nuremberg. Après s'être d'abord effondré, il nia toute responsabilité, refusant même de reconnaître sa propre signature sur des documents accablants. Condamné à mort, il est pendu le 16 octobre 1946 et aura pour derniers mots "Allemagne, bonne chance". | |
| | | sou24
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Jeu 30 Mar - 7:56 | |
| on doi parlé de c gens la psq c c gens la qui nous interésse pa les mort ..... :afro: | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Jeu 30 Mar - 8:22 | |
| sou je pense que c'est bien de ce cultivé dans le domaine de l'histoire comme ca je crois que meme si un allemand un jour te parle ben tu vas lui repondre uniquement par une phrase ( je connais votre passé ) parce que toi tu vx parler des gens qui se tappe du frik ben moi non je parle de l'histoire | |
| | | sou24
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Jeu 30 Mar - 10:46 | |
| je v te posé une question le parain c ca ?. ta deja croisé un alemand ?? et si tu la croisé esq il a le mm poin de vue que toi ??? et si ta croisé et ta parler avec un alemand esq c un vrai alemand ?? et si cet alemand te parle d islam tu va savoir koi repondre ?? avan d alé voir ailleur fau voir se qui nous entour ....... et tu me parle de frike c ete koi le but de c gens que ta mi ?? c le frike aussi
parain ... exuse moi si se que g dit ta derangé mais ya pa de pblm entre nous ok ?? on fai que parlé et si se que je mets te derange ya pa de pblms je te laisse la parole a toi et mets se que tu veu wellah pa de pblms
peace :afro: | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Ven 31 Mar - 2:09 | |
| sou tu dis que tu me derange ? mais non t'as le droit de dire ce que tu pense et en ce qui conserne tes question j'en ai croiser des allemand oui grace a un ami a moi qui vive là bas quand il est venu des amis allemand a lui sont venu ben comme il parle allemand alors on a pu parler et je te dirai que pour ces personnes ils pensent que c'est des criminel oui et je te remerci pour ces questions eux il voulais pas le frik mais le pouvoir et je parle de ca et de ce qu'ils ont ete capable de faire a race humain pour ateindre ca voilà ce que reume ce sujet j'ai commencer par presenter ces personnes et apres je parlerai de ce qu'ils sont creer et ce qu'ils ont fais et je te remerci pour ta participation :) | |
| | | bibiche
Nombre de messages : 164 Localisation : sur la montagne Date d'inscription : 27/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Ven 31 Mar - 4:09 | |
| ouais ouais ouais , c'est toujours interessant de connaitre l'histoire , l'allemagne c'est vrai derou hella a l'epok et ils sont pas fiere jusqu'a maintenant de leurs actes , j'ai parler a des allemands(pas en allemand) je suis a1h de l'allemangne ou j'habite ya que des camps de cancentrations , mais c bon dans un sens il faut reflichir.
- bon peut etre que je vais dire un truc(allah essmehli),pourquoi on doit parler des allemands ? - c'est clair que ce qui ont fait aux juifs c'est pas bien du tout, mais dans un sens les juifs ont toujours etaient un probleme a travers l'epok , et ca continura encore jusqu'a la fin du monde.
-j'ai pas envie de detailler car j'ai peur de dire des choses justes mais blessantes car je ne suis pas raciste, au contraire j'ai grandi avec des gens de toute cultures.
- au faite le plus interessant c'est effectivement de parler de el amir abdel kader, j'aimerais apprendre a connaitre nos heros a nous car je connais pas et je pense ca serrait bènefique pour plein de monde,nous aussi on doit avoir des criminels de guerre.
- le monde entier est axer sur la guerre d'allemagne , les juifs lemsseken(zaama) mais personne ne parle de la palestine et ce que les juifs leurs fons comme misere .
khadra | |
| | | sou24
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Ven 31 Mar - 12:23 | |
| ok parain jéspére que ca va ... mais tu c tu parle d un truc de copié coller toi esq quand ta parler avec c alemand ta parler comme ta fai sur le forum ?? mais bon khouya esq si c alemand t on parler de notre histoir torai trouvé koi dire ?? se que je veu dire qu il fau qu on connai notre histoir bien bien apres on va voir l histoir des autre ... notre pblms nous les algériens on laisse se qui est juste devan nous et on va voir chai pa ou tres loin de nous koi ..... hab nkoul nsotiwo on sote koi par example pour compté on dit 1.2.3.4.5.6.7.8.9.10 ....et nous on fai comme ca 1.18.34.65......
et parain exuse moi encore une fois et stp ténérve pa contre moi ak khoya mais je fai que parlé et ca fai du bien de parlé
khadra pour toi chai pa pk ta honte fau jamai avoir honte t pa raciste ou chai pa les juif son des juif l3anhoum rabi alors ca veu tt dire et ....... merci tt le monde et si je vous derange ya pa de pblms vous me le dite et je me té ...
any khoukoum wani machni mlihhh :(
:afro: | |
| | | bibiche
Nombre de messages : 164 Localisation : sur la montagne Date d'inscription : 27/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Ven 31 Mar - 18:59 | |
| ok je vais me lacher, merci sou pour ta remarque , j'aime bien quand tu parle parce que tu dit ce qu'il a au fond de toi.
-attention je vais parler
allah a maudits les juifs c'est vrai âandek khbar enta ya sou, alors laissez nous trankil avec les juifs on s'en fout de leur sort au faite , ils auraient du tous mourire comme ca belek koun rana trankil el youm , hna rana fi hemna ou lezem enzidou nahadro êela hem lokhrine , âandek hak ki etgoul que les algeriens on regarde pas ce qui est devant nous.
- c'est bon je me suis lacher et ca fait du bien , ena teni mekountech emliha c bon fereght el kolka , une bonne thèrapie :oops:
-bon eli ihemna douka: -ena heba nâaraf notre histoire a nous a part la guerre avec la france je connais pas ce qui s'est passer avant avec l'empire otoman(turc) et c'est quoi les histoires qu'il a entre les kabyles et el houkouma , je comprend que dalle a ca , j'ai beaucoup entendu parler de ca a la tv.
-ahadrolna êela les harkis changiw chwia allah ya sidi
-diroulna iktireh | |
| | | sou24
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Sam 1 Avr - 8:54 | |
| ok khadra il fau que tu parle tjrs et dire se que tu veu dire
pour harkis je compren pa bien se mot explique toi et j v essayer de dire se que je connai mm si je connai pa tro mais bon je fai pa le copier colé tu le c ca :) et si g un truc a copié je copi tt le site pk copié bechwiya ?? bach yeguoulou za3ma za3ma kawi makan chi ana hou ana :) aki alabalek almen nahder :pirat:
et pour ton profil chkoun hadou li fetsswira bach3n koul :oops:
jatta le mot "harkis" je compren pa tro :oops:
:afro: | |
| | | bibiche
Nombre de messages : 164 Localisation : sur la montagne Date d'inscription : 27/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Sam 1 Avr - 17:46 | |
| oui ta raison les photos deja ya toi et tes amis je ais pas dire vos prenoms
- les harkis tu connait tres bien , c'est les algeriens qui ont travailaient avec les francais contre leurs pays et les combattants pendant la guerre -en faite c'est ceux qui ont trahis leur pays . | |
| | | le-Parrain
Nombre de messages : 38 Date d'inscription : 25/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Dim 2 Avr - 8:34 | |
| bonjour sou ben je pense que le debat commence bien :) content pour ca mais je voulais just te dire que je suis qq un qui s'interesse a l'histoire et je connais notre histoire et avant de mettre un copier collé je connais tte cette histoire de la 2 eme guere je suis tres branché des doccumentaire chez moi et si tu vx que je te donne une source et bien t'as qu'a voir le documentaire ( DE NUREMBERG A NUREMBERG ) là ya tte ce que j'ai mis sur le salon moi ce que je fais c'est de mettre l'histoire ecris par les historiens c'est tt je ne dis ni pk ni comment parce qu'il etais bcp mieux placé que moi pour rediger tt celà peut etre y en a ceux qui ignore cette histoire et je voulais just avoir ton avis si tu vois que ce sujet te deplait ben c'est pas grave je vais le changer et peut etre je n'ecrirais plus sur l'histoire moi je souhaiter just aporter un plus car connaitre l'histoire d'un autre pays c'est une amre enfin de tte façon je vais mettre fin a ce sujet ne te dis pas que je suis faché non mais just que je que les abonné ne s y interesse pas alors a quoi sert bon :) allé je te dis a bientot et merci d'avoir donner ton avis | |
| | | diablo24
Nombre de messages : 22 Date d'inscription : 28/03/2006
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? Dim 2 Avr - 16:45 | |
| wache a le parain l'allemane hebletek wela bedel chui donne nous d'autre culture tu crois que c'est l'allemagne à gagner la deuxième guère mondial ont existe encore :affraid: | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: CONNAISSEZ VOUS ? | |
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