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__Suite de l'histoire.
De trancher les têtes de tous les monstres possible et imaginable vivant sur terre ou sous la mer . Je veux bien te le prêter à condition que tu me rapportes , lorsque tu seras acquitté de ta mission héroïque !
Sans faute ! s'éxclama le jeune homme , fou de joie à l'odée de pouvoir se battre et libérer sa bien-aimée , qui hantait déjà toutes ces pensées .
Il prit le sabre magique , complimenta son bienfaiteur et s'en alla , fiérement , défier son destin.
Le coeur empli d'ambition et d'enthousiasme , le jeune homme traversa plusieur provinces et forêts . Il emprunta des chemins inconnus et rencontra de bien étrange et curieux personnages . Il apprivoisa les uns et se méfia des autres . Il suivit les indications du vieux sage et supporta fort bien le voyage qui dura, d'ailleur, des semaines entiéres.
Quand enfin se dessina à l'horizon la frontiére du pays recherché,le jeune homme découvrit une montagne si haute qu'elle se perdit dans le ciel .A
ses pieds ,prenaient naissance les sept fleuves maudits ou sommeillaient les sept monstrueuses pieuvres . Il sentit son coeur battre fortement.Il rassembla son courage et s'attaqua promptement à sa tâche .Il suivit le premier fleuve jusqu'à sa source,puis provoqua la pieuvre en lui jetant le corps d'un boeuf comme appât.Celle-ci sortit des eaux,se prépara à avaler le jeune homme;Brutalement,celui-ci sa tête,grace au sabre magique.Il fit de même avec les six autres pieuvres .D'un pas alerte et fierde son exploit,le jeune homme n'hésita pas à ce rendre au palais pour demander audience à la reine,trainant derriére lui les énormes têtes des pieuvres.
Extrêment contrariée par l'arrivée triomphale du jeune homme,la méchante reine refusa d'admettre sa victoire.Elle le rçu froidement;séchement ,elle décréta qu'il s'agissait d'un démon.Elle ordonna aux gardes de le brûler vif pour conjurer le mauvais sort.Le jeune homme se défendit.Il s'adressa au roi enfermé dans un mutisme troublant.Il lui dit:Ô noble roi ! Je ne suis qu'un voyageur.Je souhaite m'acquitter d'une grande dette envers ta fille,la princesse Clair-de-lune.Elle ma sauvé de la mort et je sais qu'elle a besoin de toi.Ta femme l'a injustement condamnée à prendre l'apparence d'une perdrix,et tu ne peux deviner ce que j'ai dû endurer pour parvenir jusqu'ici.J t'en prie sire ! Fais quelque chose pour ta fille,cet être si fragile et si généreux,qui n'est autre que ta chair et ton sang ! Le roi eut les larmes aux yeux.
Il se leva et ordonna à son épouse de rompre la mauvais sort qui affligeait la vie de sa fille,puis de quitter le palais immédiatement.D'une voix amére et déchiré,il s'emporta:Veille sorciére ! Tu as réussi à me séparer de ma fille et à me faire oublier.Qu'a-t-elle donc fait pour mériter ta sentence ? Ne t'avait-elle pas aimée comme elle aimait sa propre mére si seulement le destin ne nous avait pas privés d'elle si tôt ? Va! Hors de ce royaume ! Que le Seigneur te maudisse jusqu'à la fin de tes jours!
Le monarque remercia le jeune homme pour sa bravoure et sa courtoisie.Il le pria de lui raconter ce qu'il avait vu et entendu à propos de la princesse.Le jeune homme s'exécuta et lui demanda de le suivre dans la forêt de l'ogresse,ou la perdrix l'attendait impatiemment.Le souverrain fit préparer une empressionnante escorte;il prit des vivres et des offres emplis de louis d'or,puis s'empressa de rejoindre sa fille.Le vide qu'avait laissé la princesse dans le coeur des deux hommes leur fit oublier la lenteur et la difficulté du voyage.Ils se promirent tous deux de ne s'arrêter qu'une fois à destination.
Ce fût un bonheur immense de les voir au chevet d'une fille rayonnante de beauté et de grâce,qui dormait sereinement sous un olivier.La pricesse se réveilla,se jeta dans les bras de son pére puis embrassa son héros,le remerciant.De tout son coeur:Je te serai éternellement reconnaissante lui murmura-t-elle.Charmé par l'éclat de sa beauté,le jeune homme osa s'adresser au roi:Jesais que mon rang ne me permet pas de prétendre à une alliance avec toi,ô noble roi ! Mais je serais infiniment heureux et honoré de te demander la main de la princesse.Le souverrain regarda le jeune homme et lui répondit: Mon brave garçon ! Ce que fait la noblesse d'un homme,c'est d'abord sa vertu ! Je crois que tu m'as apporté la preuve de ta hardiesse et de ta pureté.Ma fille sera en sécurité avec toi.Alors;je l'offre sa main avec une immense joie.
La princesse Clair-de-lune adressa à son bien-aimé un sourire consentant et complice,puis prit le chemin du retour,impatiente de retrouver les lieux de son enfance.
De retour au palais,le roi annonça allégrement les épousailles de sa fille avec l'héroïque jeune homme.
Quelque jours plus-tard,on célébra fastueusement les noces des jeune amoureux et celles de cent autres jeunes gens issus de famille pauvres du royaume.Le roi souhaita ardemment que le ciel bénisse la mariage de sa fille;et il fit preuve pour cela d'une grande générosité envres ses sujets une ambiance de réjouissante de liesses régna au palais durant des jours et des jours.On en profita pour savourer avec délectation le gout de la paix et du bonheur.
Quelque mois s'écoulérent le jeune homme appréciait plienement la vie princiére et son épouse,la princesse Clair-de-lune,prit soin de son couple.Elle lui offrit toutes les conditions d'une vie épanouie et heureuse.
Un jour,elle surprit le sabre magique que son époux avai rangé dans son coffre.Elle le contempla et apprécia la finesse de sa décoration.Dés que son mari la rejoignit, elle l'interrogea: D'ou te vient ce magnifique sabre ?
Voila que le jeune homme se rappela la promesse faite au vieux sage, le propriétaire du sabre magique.Il répondit à sa femme: Heureusement que tu m'as parlé de lui sinon je l'aurai complétement oublié.Ce sabre est la clé de notre salut, ma chérie.Il faut que je le rende à a celui qui me l'a prêté.
Dés le lendemain, le prince sella son cheval,prit quelque provisions et se dirigea vers la maisonnette du vieux sage.Quand celui-ci le vit arriver,il le prit dans ses bras et lui confia: J'étais sûre que tu reviendrais mon enfant ! tu es un homme de qualité,se sabre t'appartient;je te l'offre.Quelque chose,cependant,attriste mon coeur.
Qu'y a-t-il donc pére ?
Il ya dans ce bas monde une mére qui pleure ton absence depuis des années.Elle te croit mort et s'en veut de n'avoir pu te sauver.Je l'entend se plaindre à tous les saints à l'approche de chaque hver.N'est-il pas temps d'aller la consoler ? Le jeune homme se souvint tout à coup le regard déchiré que lui avait lancé sa mére la nuit ou l'ogresse l'avait arraché à elle .Il regrettaprofondément de l'avoir oublié.Le vieux sage le consola: Ce n'est rien mon brave garçon ! l'oubli est la nature humaine,va la rejoindre!elle sera certainement heureuse de te voir.
Le jeune homme retrouva le chemin de son pays natal et offrit à sa malheureuse mére le plus beau cadeau que l'on puisse offrir à une mére au premier jour du printemps.En effet; quand elle vit s'avancer vers elle
un jeune homme élégant et distingué elle lut dans son regard ces liens sacrés qui finisent.Toujours par réunir une mére et son enfant. Les retrouvailles furent empreintes d'une émouvante ferveur.
Le jeune homme raconta à sa mére.tout ce qui lui était arrivé et la pria de l'acompagner au royaume de son épouse.La femme,d'une voix mélancolique,lui dit: Le propre d'une mére est d'élever ses enfants pour les voir partir un jour.C'est la vie.Retourne à ton foyer et prend soin de ton épouse .Reviens me voir dés que je te manquerai et fais-moi le bonheur d'amener un jour ta descendante.Je suis déjà comblée de te savoir vivant et heureux.Il est vrai que l'on dit toujours que se sont les épreuves qui cisélent et forgent l'esprit d'un homme et toi,mon garçon, tu as su affronter ton destin dignement.Je suis trés fiére de toi.
Le jeune homme demeurra encore quelque jours auprés de sa mére,de ses fréres er soeurs et savoura avec délices les doux moments partagés avec sa famille.Puisil s'en retourna auprés de sa dulcinée à qui il fit le récit de son odyssée.
La princesse Clair-de-lune et son époux vécurent heureux.il firent la joie de leurs parents quand ils annoncérent la naissance de leur premier enfant
qu'ils prénommérent Bourgeon-de-printemps.
voila l'histoire et terminer étteigné vos bougies et dormaient en paix
hmimed